#LeChangementCestMaintenant!
L'idéologie véhiculée par les deux phrases : « morts inutiles... arrêtés inutilement... »
Les mots ne sont jamais neutres. Ils sont toujours au service d'une idéologie.
En se basant sur l'analyse du leadership de Marcus Garvey et sa vision de la société, le peuple togolais, à travers ces deux phases, dans tout son ensemble fait la propagande de la vision de l'organisation sociale que les collaborateurs des colons (ou des nègres de maison) de l'époque coloniale avaient.
L'étude et l'analyse des œuvres de Frantz Fanon nous a déjà démontré l'échec d'une idéologie de collaboration.
C'est au nom de cette idéologie de collaboration que les premiers leaders nationalistes furent assassinés et remplacés par les nègres de maison d'aujourd'hui. Et cette collaboration des nègres de maison et des colons est connue sous la forme et le nom de la France-Afrique.
Parlez de : « mort inutile et arrêtés inutilement » , dans un processus de lutte de libération, c'est réduire la lutte à un simple jeu de substitution des hommes qui ont pris en otage le pays.
En faisant la propagande de ces deux phrases nous affirmons volontairement ou involontairement que nous ne luttons pas pour un changement en profondeur du système. C'est juste une lutte cosmétique du remplacement des seigneurs d'aujourd'hui par de nouveaux qui forcément ne feront pas mieux car le système dictatorial étant toujours opérationnel.
Pour préserver la vie humaine dans un combat, les généraux ne viennent pas faire la propagande des morts et des arrestations. Ils investissent dans les moyens de lutte et dans les ressources humaines.
Ceux qui ont utilisé les méthodes de la lutte non-violente pour triompher de l'oppression n'ont pas réussi grâce à la propagande résumée en ces deux phrases.
Gandhi, Martin Luther King ont plutôt poussé les combattants de la liberté à se faire arrêter massivement.
Eux-mêmes furent arrêtés plusieurs fois lors de leurs luttes de libération et pour les droits civiques.
Pour leur vision de l'organisation sociale pour un monde plus juste, ils n'ont pas changé à cause des morts ni des arrestations.
Pour faire germer leur vision du monde, ils sont mort pour leur conviction.
En analysant l'action et la vision des différents leaders qui ont provoqué la remise en cause de l'organisation sociale traditionnelle de la vie, jamais il n'a été constaté aucun changement ou réussite grâce à la diffusion du sentiment et de l'esprit de : «Morts inutiles... Arrêtés inutilement...» .
Lumumba, Sankara, Che Guevara, Sylvanus Olympio, Tavio AMORIN... et même Jésus, ont montré que pour un changement en profondeur pour le bien d'un peuple; les arrestations et assassinats ne peuvent pas être des obstacles pour le triomphe d'un monde plus juste.
Après l'assassinat des premiers leaders nationalistes, une idéologie s'est glissée sciemment dans la conscience collective africaine surtout au niveau de l'élite pour les amener à voir que la lutte avec conviction et sacrifice est vaine. D'où la naissance de l'élite collaboratrice.
Ces derniers ont donc trouver bon qu'il fallait plutôt agir en enfant discipliné enfin d'amener l'oppresseur à céder avec gentillesse. Ou il faut carrément aller collaborer avec l'oppresseur, ceci pour obtenir une faveur de libération.
L'analyse de ces deux phrases illustre clairement le jeu de l'élite collaboratrice (ou nègre de maison) face à la dictature que nous avons ici au Togo.
La propagande de ces deux phrases sur les médias et réseaux sociaux, c'est de l'instrumentation de la masse pour faire accepter l'attitude et les actes de l'élite collaboratrice ou gentille du clan Gnassingbé.
C'est le dressage de l'esprit des jeunes pour les amener à obéir et collaborer avec l'oppresseur.
Nous sommes une génération de résultats. La victoire est nôtre, maintenant !
En se basant sur l'analyse du leadership de Marcus Garvey et sa vision de la société, le peuple togolais, à travers ces deux phases, dans tout son ensemble fait la propagande de la vision de l'organisation sociale que les collaborateurs des colons (ou des nègres de maison) de l'époque coloniale avaient.
L'étude et l'analyse des œuvres de Frantz Fanon nous a déjà démontré l'échec d'une idéologie de collaboration.
C'est au nom de cette idéologie de collaboration que les premiers leaders nationalistes furent assassinés et remplacés par les nègres de maison d'aujourd'hui. Et cette collaboration des nègres de maison et des colons est connue sous la forme et le nom de la France-Afrique.
Parlez de : « mort inutile et arrêtés inutilement » , dans un processus de lutte de libération, c'est réduire la lutte à un simple jeu de substitution des hommes qui ont pris en otage le pays.
En faisant la propagande de ces deux phrases nous affirmons volontairement ou involontairement que nous ne luttons pas pour un changement en profondeur du système. C'est juste une lutte cosmétique du remplacement des seigneurs d'aujourd'hui par de nouveaux qui forcément ne feront pas mieux car le système dictatorial étant toujours opérationnel.
Pour préserver la vie humaine dans un combat, les généraux ne viennent pas faire la propagande des morts et des arrestations. Ils investissent dans les moyens de lutte et dans les ressources humaines.
Ceux qui ont utilisé les méthodes de la lutte non-violente pour triompher de l'oppression n'ont pas réussi grâce à la propagande résumée en ces deux phrases.
Gandhi, Martin Luther King ont plutôt poussé les combattants de la liberté à se faire arrêter massivement.
Eux-mêmes furent arrêtés plusieurs fois lors de leurs luttes de libération et pour les droits civiques.
Pour leur vision de l'organisation sociale pour un monde plus juste, ils n'ont pas changé à cause des morts ni des arrestations.
Pour faire germer leur vision du monde, ils sont mort pour leur conviction.
En analysant l'action et la vision des différents leaders qui ont provoqué la remise en cause de l'organisation sociale traditionnelle de la vie, jamais il n'a été constaté aucun changement ou réussite grâce à la diffusion du sentiment et de l'esprit de : «Morts inutiles... Arrêtés inutilement...» .
Lumumba, Sankara, Che Guevara, Sylvanus Olympio, Tavio AMORIN... et même Jésus, ont montré que pour un changement en profondeur pour le bien d'un peuple; les arrestations et assassinats ne peuvent pas être des obstacles pour le triomphe d'un monde plus juste.
Après l'assassinat des premiers leaders nationalistes, une idéologie s'est glissée sciemment dans la conscience collective africaine surtout au niveau de l'élite pour les amener à voir que la lutte avec conviction et sacrifice est vaine. D'où la naissance de l'élite collaboratrice.
Ces derniers ont donc trouver bon qu'il fallait plutôt agir en enfant discipliné enfin d'amener l'oppresseur à céder avec gentillesse. Ou il faut carrément aller collaborer avec l'oppresseur, ceci pour obtenir une faveur de libération.
L'analyse de ces deux phrases illustre clairement le jeu de l'élite collaboratrice (ou nègre de maison) face à la dictature que nous avons ici au Togo.
La propagande de ces deux phrases sur les médias et réseaux sociaux, c'est de l'instrumentation de la masse pour faire accepter l'attitude et les actes de l'élite collaboratrice ou gentille du clan Gnassingbé.
C'est le dressage de l'esprit des jeunes pour les amener à obéir et collaborer avec l'oppresseur.
Nous sommes une génération de résultats. La victoire est nôtre, maintenant !