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18 février 2019

DÉGAGISME

Le dégagisme à la togolaise.


Le syndrome du péché adamique fait encore du ravage dans le champ socio-culturo-politico-économique au Togo . Et il provoque la maladie du dégagisme, si on peut l'appeler ainsi.

Le syndrome du péché adamique consiste  à se lancer dans la recherche d'un bouc-émissaire parfait dans une crise, dans une situation d'extrême complexité.

Le dégagisme est la doctrine qui consiste à laisser l'oppresseur, le système oppressif pour se concentrer sur  la destruction du bouc-émissaire parfait d'abord avant toute action, initiative pour la recherche de la solution efficace.

Le Togo, toujours victime de l'érection du veau d'or dans toutes les phases de la lutte pour un Togo nouveau .

  - Dans ce pays, ils nous ont  dit que le problème togolais c'est : la famille Gnassingbé-Olympio, et donc le jour où ces deux familles seront ensemble, le Togo sera un paradis sur terre.

  - En 2015, ils ont dit que Fabre a trahi le peuple parce qu'il a participé à l'élection présidentielle et ils disaient que c'est à cause du chef de file de l'opposition que Fabre participe aux élections pour légitimer le clan Gnassingbé.

  - En 2019, malgré l'implication de nous tous dans cette nouvelle phase de la lutte, débutée en août 2017 et marquée par les élections du 20 décembre 2018  ; nous accusons  la C14 d'être encore le responsable de la présence du clan Gnassingbé. Et donc pour nous, la solution serait le dégagisme de la C14 pour sauver le Togo de la main du système cinquantenaire.

Une question à nous tous : « Était-ce avec le dégagisme que Tikpi a fait son éruption sur le champ politique ? »

Nous nous  invitons à relire et à méditer sur le discours du 02 juillet 2017 de Tikpi, de même que son dernier discours de bonne année qui est un guide aussi pour nous.

Le clan Gnassingbé en est conscient que ni aujourd'hui, ni demain nous ne pourrons en un clin d’œil ou par effet d'une baguette magique oublier nos morts, disparus, exilés, et les aimer voir envisager qu'ils dirigent la pays pour d'éventuelles éternités. Ils en sont conscients qu'ils en sont à un point de non retour et donc ne peuvent que profiter de la confusion dans nos rangs, de nos colère et résignation pour gagner un peu de temps durant lequel ils pourront vivre encore leur illusion de gouvernance.

Nous sommes une génération de résultats . La victoire est nôtre maintenant !

Fovi Katakou ( b-a-b-a , RAL )

Nature-Homme-Societe

15 février 2019

MON SANG POUR LE TOGO ( 3 )





Le mouvement #Nubueke organise la troisième édition du #MonSangPourLeTogo ce Samedi 16 février au Centre National de Transfusion Sanguine, CNTS de Tokoin Doumassesse (Adewi) de 8h à 13h.

La science, la médecine et la technologie ont permis d’améliorer considérablement notre santé, mais il existe quelque chose que les chercheurs ne sont pas capables de fabriquer : le sang humain





1) Donner son sang est bon pour la santé.

Pour bien fonctionner, le cœur a besoin d’un certain débit et volume sanguin. Donner son sang régulièrement aide à réduire l’épaisseur du sang et lui permet de s’écouler plus facilement dans les vaisseaux sanguins pour atteindre le cœur et donc peut réduire aussi le risque de développer certains cancers.

2) Un homme a sauvé 2 millions de bébés grâce à son sang.

Une personne qui donne son sang régulièrement peut sauver environ 1 000 vies au cours de son existence. Mais l’Australien James Harrison a réussi à en sauver 2 millions à cause de son sang d’un type très rare. En effet, il contenait des niveaux élevés d’un anticorps spécifique utilisé pour soigner les cas de maladie hémolytique du nouveau-né.

3) Les dons aident les patients atteints d’un cancer.

Les produits sanguins sont prescrits principalement pour les hémorragies (accouchement, intervention chirurgicale ou accident) et pour les cancers et maladies du sang. Le traitement de ces maladies nécessite, selon les cas, des transfusions régulières et en grandes quantités. De plus, le traitement par chimiothérapie entraîne une destruction des cellules de la moelle osseuse, à l’origine des cellules sanguines. L’organisme ne pouvant plus les renouveler, il a besoin de transfusions de plaquettes et de globules rouges.

4-  Le type 0+ est le plus demandé.

Bien que tous les groupes sanguins soient nécessaires et bienvenus, les personnes 0 positives sont celles dont le sang est le plus demandé. Ce groupe étant le plus répandu, il est plus susceptible d’être transfusé, rappelle le site Medical Daily.

LCT ( Ligue des Consommateurs du Togo ) et d'autres organisations de la société civile ont joint leur voix à la  troisième édition du #MongSangPourLeTogo pour faire du Samedi 16 février une journée citoyenne du don de sang pour la culture de l'amour fraternelle au Togo.

#NUBUEKE lance alors un appel à tous les Togolais de venir au CNTS d'Adewi ce  Samedi 16 février pour l'Amour citoyenne.

Car donner  du sang, c'est un geste de tolérance et d'acceptation de l'autre.

Quand on va au CNTS pour chercher les produits sanguins, on ne demande jamais  : « Je cherche le sang des membres de mon parti politique, mon ethnie, ma religion,  regroupement philosophique ..». On a juste besoin du sang humain pour sauver une vie ( celle de son frère, sœur, fils, mère, père, oncle, tante, ami.... ).

Le sang n'a pas de parti politique, ni ethnie, ni religion, ni regroupement philosophique...

Fovi Katakou ( b-a-b-a , RAL )

Nature-Homme-Societe

13 février 2019

TOGO: Le 20 DÉCEMBRE 2018 De GNASSINGBÉ FAURE

 Les citoyens togolais, la majorité consciente et révoltée mais damnée et démunie, depuis le 20 décembre 2018 (date des élections législatives unilatérale du régime RPT-Unir dont nous connaissons tous les conditions dans lesquelles elles se sont déroulées et les conséquences sur l'avenir du peuple) se posent des tas de questions en bilan de la situation du pays, dont les pertinentes sont :

-  Ils ont eu le culot d'ignorer les revendications du peuple, la feuille de route de la CEDEAO et ont fait leurs élections du 20 décembre, quelle sera alors la suite de notre lutte ?
-  A quoi nous a servi le respect et la confiance en la CEDEAO ?
-  Avons-nous échoué ?si oui ou non, pourquoi?
-  La lutte elle-même ne peut pas s'arrêter là, il est question de l'avenir de tout un peuple. Quelle sera le prochain tournant de cette dernière ?

A toutes ces différentes questions des citoyens émanent des réponses primaires comme :
-  La C14 a été inefficace. Elle n'a pas de stratégie spécifique.
-  C'est fini pour nous. Seul Dieu peut nous sauver.
-  Nous ne pouvons rien faire.
-  La C14 a trahit l'aspiration populaire.
-  Le Togo a besoin d'une nouvelle classe politique.

Nous nous invitons à répondre à cette question : Sommes nous levés en Août 2017 pour ces élections législatives du 20 décembre 2018  ?

Pourquoi nous nous inquiétons donc de leurs élections du 20 décembre 2018 ? Leurs élections parce que ce fut des élections qui ont été organisée sans avoir exécuté les pré-requis à cette dernière, nous, population, n'y avons pas participé. Cette mascarade électorale n'a aboutie qu'à la nomination de leurs soit-disant députés. La preuve de ces nominations fut la sortie d'Abass Bonfoh sur les réseaux sociaux par rapport aux députés donnés au parti politique  NET ( Nouvel Engagement Togolais ). 

Le soir même des élections législatives du 20 décembre, après la fermeture des bureaux de vote, à titre de première sortie sur les médias, le ministre Bawara confirmait peut-être sans en être conscient, sans le savoir ou indirectement, la non-participation de la population à cette mascarade, en ces mots en disant : « La qualité d'une élection ne dépend pas du taux de participation ». Il s'agit de l'avenir d'un peuple, et soyons un peu plus sérieux. Si le taux de participation était vraiment les 60%, Bawara n'affirmerait jamais ça devant les média.


Nous nous sommes mis debout et agissons depuis Août 2017 pour la #C92Originelle, c'est-à-dire le retour de la constitution de 1992 et donc nous voulons des structures et institutions qui prônent la justice, la sécurité, la liberté et la prospérité pour le bien-être de tous sans distinction aucune.

Nous avons compris que les structures et institutions qui existent aujourd'hui, fonctionnent seulement pour le clan Gnassingbé. Et notre démarche est de donner un cadre démocratique au Togo.

Nous ne nous sommes pas mis debout pour des élections aux humeurs du clan Gnassingbé; mais pour le respect des droits de l'homme et un État de droit au Togo.

La nomination des députés n'est pas une chose nouvelle ou étrange au Togo, car avant les années 1990, le Togo était dirigé par le parti État où c'était le culte de Gnassingbé Eyadema. Mais par la volonté et l'action des togolais, nous avons arraché certaines libertés. De même la main mise par le clan Gnassingbé et ses amis sur toutes les structures et les institutions aujourd'hui ne devrait pas nous inquiéter. Ceci doit plutôt être une opportunité pour nous mobiliser et agir maintenant pour un véritable État de droit et le respect des droits de l'homme au Togo.

Si les togolais des années 1990 malgré les moyens limités et la nature répressive du régime de Gnassingbé Eyadema ont pu obtenir au moins la #C92Originelle, ce n'est pas les nominations des députés en 2018 et le régime de Gnassingbé Faure qui vont devenir un obstacle pour une société démocratique au Togo à l'ère de la communication 2.0.

Nos efforts pour amener une société démocratique au Togo depuis Août 2017 sont  heurtés à une machine de répression systématique du clan Gnassingbé.

La répression de Gnassingbé Faure est elle liée à la C14 ?
Cette répression est-elle faite à cause des leaders qui composent la C14 ? A cause d'Adjamagbo, Tikpi, Fabre ?

Si aujourd'hui nous avons un autre regroupement avec de nouveaux leaders, GNASSINGBÉ Faure cessera t-il de réprimer sauvagement les mouvements de protestations ?

Que reprochons-nous concrètement à la C14 ? L'émergence d'une nouvelle classe politique nécessite t-elle la disparition de la présente ? Une nouvelle classe politique, c'est possible, mais va t-elle tombe du ciel ?

En analysant la vie socio-culturo-politico-économique du Togo avant et après Août 2017 jusqu'aujourd'hui nous ne pouvons rendre responsable la C14 de la nomination des députés du 20 décembre 2018.

Aujourd'hui, au lieu de nous donner à la philosophie du péché adamique, une philosophie qui consiste devant un problème, un drame collectif à trouver un bouc-émissaire parfait pour se déresponsabiliser, se justifier, accuser l'autre. Nous devons plutôt croire en ce que nous tous avons fait pour l'avènement d'une société démocratique au Togo depuis Août 2017. Les élections du 20 décembre 2018 nous montrent donc que la lutte pour un État de droits et le respect des droits de l'Homme ne peut plus être exclusivement réservée aux partis politiques ou un quelconque leader. Elle devient une affaire de tous citoyens. La construction d'un pays, la restauration des principes humains n'est  jamais l'œuvre de la philosophie du péché  adamique. L'histoire des peuples qui ont vaincu l'oppression est un grand enseignant pour nous. 

Si nous ne  voulons plus être surpris par un mouvement populaire ; et mettre notre destin dans la main de la probabilité naturelle, nous devons plutôt nous amener les uns et les autres à s'approprier la lutte pour un Togo libre, juste et prospère pour tous. 
Au lieu de jouer aux accusateurs de la C14 et ses leaders , nous devons nous lancer à la construction de la lutte citoyenne.
Cette phase de la lutte pour un Togo libre, juste et prospère pour tous n'a plus besoin des dénonciateurs qui n'osent jamais.
Elle n'a plus besoin des discours de colère pour blâmer les leaders traditionnels.

Ces énergies d'accusations, de dénonciations peuvent être utiliser pour construire des citoyens actifs pour leurs droits et devoirs dans tous les secteurs socio-professionnels.


Nous devons commencer plutôt à aider tous les Togolais à se voir capable de pouvoir agir pour se libérer de l'oppression et de l'exploitation, par eux-mêmes. Les décisions à prendre, les moyens à utiliser lors d'une injustice ne doivent plus forcément venir d'un leader politique ou de la société civile d'abord. 

Nous devons avoir un discours qui libère les esprits des schémas mentaux qui  empêchent le togolais d'agir, de penser et de parler par lui même.

Chaque citoyen, couche socio-professionnelle doit voir qu'il a plus d'intérêts dans le Togo nouveau. Et il est de son devoir et droit de se  mobiliser et d'agir pour son intérêt.

Par la mobilisation et l'agissement de tous, nous allons diminuer considérablement la sauvagerie, la barbarie de la machine de répression du clan GNASSINGBÉ.

La répression du clan Gnassingbé est l'œuvre des Hommes. Hors ceux qui exécutent l'ordre de répression ou protègent les miliciens dans leur barbarie partagent les mêmes conditions de vie que nous. Ceux qui conçoivent les plans de répressions et qui donnent l'ordre ont leur femmes, maîtresses, mère, chauffeurs, domestiques, les répétiteurs et enseignants de leurs enfants qui sont en contact avec nous.
Ils vivent parmi nous.



 Si nous travaillons bien notre discours et nous présentons la sécurité que le Togo nouveau représente pour tous les Togolais, certains enfants, mères, femmes des soldats et des donneurs d'ordre barbare  peuvent participer à amener leur fils, père et homme à accepter le Togo nouveau sans peur du lendemain.

Si nous avons la foi que nous pouvons combattre le diable, l'esprit de malédiction familiale, est-ce un régime des humains à une tête et au sang rouge dans les veines qui va nous décourager, nous plonger dans le fatalisme ? 

David a vaincu GOLIATH. Et Jésus nous a dit : « Si vous avez la foi comme une graine, vous pouvez demander à une montagne de se déplacer. Et elle va se déplacer. » Nous crions sur tous les toits, notre appartenance à différentes réligions dont celle chrétienne, mais nous ne considérons ni ne mettons en valeurs ces faits et paroles.

Si malgré l'arme nucléaire, le développement de l'Afrique du Sud par  les boers (blancs sud-africains), les intérêts des grandes puissances en Afrique sud, la machine de répression des boers, l'ego des leaders noirs comme Buthelezie...; les noirs sud-africains ont vaincu le système d'apartheid.
Si malgré l'esclavagisme, le colonialisme, le racisme les noirs sont passés du statut d'objets à l'humain pensant et agissant aujourd'hui.

Est-ce le régime de Gnassingbé Faure qui nous amenera à dire aujourd'hui que nous ne pouvons plus rien, après ce 20 décembre  2018 ?

S'il suffit simplement de prier pour avoir la liberté, les israélites de la Bible ne feront pas tous ces parcours avant de trouver leur terre promise.

Les discours des leaders religieux catholiques d'aujourd'hui montrent que la praxis religieuse exige à tous les chrétiens de s'engager pour la justice, la liberté et la prospérité dans son pays.

Nous n'avons pas un état au Togo. Et des structures et institutions qui existent aujourd'hui dans la société togolaise fonctionnent pour les intérêts du clan Gnassingbé.

Devant un tel constat, nous devons travailler à l'émergence des cellules de réflexion, de développement économique et culturel... parallèle dans tout le Togo pour la réorganisation de la société en l'avantage du peuple. 

Nous devons travailler à priver le clan Gnassingbé des ressources humaines nécessaires au fonctionnement de leur système d'oppression et d'exploitation. Et nous devons gagner pour la cause du Togo nouveau des ressources humaines qui sont aujourd'hui avec le clan Gnassingbé.
L'engagement de ces ressources  humaines du clan Gnassingbé pour le Togo nouveau va plus rassurer la minorité qui a peur du lendemain d'oser comme les boers de l'Afrique du Sud.

Chaque environnement socio-culturo-politico-économique dictatorial  produit toujours sa minorité active pour un nouvel ordre social.

Et le changement social n'est toujours que l'œuvre de la minorité active.


Faisons nous même, avec nos moyens propres ce que nous jugeons faisable par les leaders politiques. Par nos actions pour le Togo nouveau nous aurons rapidement un résultat,  plutôt que de dire des choses pour que  d'autres viennent le faire pour nous.

La minorité active d'aujourd'hui, est une génération de résultats. La victoire est nôtre maintenant !

Fovi Katakou ( b-a-b-a , RAL )

Nature-Homme-Societe

11 février 2019

TOGO: UNE NOUVELLE CLASSE POLITIQUE.


Si nous voulons avoir effectivement un changement dans nos sociétés africaines, nous devons systématiquement arrêter de jouer aux beaux parleurs avec de beaux discours de reconstruction sociale sans avoir de meilleures idées en pré-requis ni aucune meilleure action encours sur le terrain.


« L'AFRIQUE a besoin d'une nouvelle classe politique » , telle est la phrase que nous écoutons en boucle sur les média .

Ceux qui récitent cette phrase savent-ils de quoi ils parlent ?
Si nous rentrons dans leur famille, école,  église, association, entreprise... la classe dirigeante de leurs  différentes structures et institutions est-elle mieux que la classe politique ?

Une nouvelle classe politique se décrète ou apparaît-elle en un clin-d’œil? 

Comment pouvons nous avoir une nouvelle classe politique en Afrique  ?
Sera t-elle une œuvre mystique ou de chance d'avoir une classe politique africaine soucieuse des besoins du peuple ?

L'individu d'aujourd'hui est le fruit des structures et institutions (famille, école, église, club sportif, association, entreprise, les médias ...) de son pays. Et donc la classe politique d'aujourd'hui en est le fruit de ces dernières.

Si aujourd'hui, nous n'avons qu'une classe politique qui détruit la société pour leur propre intérêt, alors nous devons savoir que les différentes structures et institutions de socialisation ont failli à leur rôle. Et pour avoir une nouvelle classe politique, nous devons connaître et comprendre la logique, philosophie, la spiritualité et culture des agents de socialisation qui ont produit celle d'aujourd'hui. 

En attendant l'accès au royaume politique pour des changements en profondeur, tous ceux qui désirent réellement une nouvelle classe politique en Afrique doivent pouvoir  créer des structures et institutions parallèles. Avant la mise en place de ces structures et institutions, les architectes de l'Afrique nouvelle doivent avoir une idée sur le prototype de la classe dirigeante politique, de l'élite de demain.

A base de ce prototype, des modèles spirituels, économiques, éducatifs , culturel seront élaborés. Et ces cellules parallèles vont se charger de socialiser les jeunes par ses valeurs et principes nouveaux.

Les architectes doivent se violenter eux-mêmes pour être au moins un exemple lors de ce processus de  construction de l'Homme nouveau africain.

Nous devons faire comprendre à tous les africains que l'enjeu de notre société d'aujourd'hui n'est plus une réussite individuelle pour des titres et honneurs. Mais la mise en place d'une organisation sociale qui va permettre à tous les enfants d'Afrique de développer ses potentiels humains et de transformer son milieu de vie pour le bien être de tous.
Une organisation sociale qui élimine au maximum les obstacles, les facteurs  qui provoquent le meurtre multi-quotidien des talents et génies de demain.
Une organisation sociale qui anticipe la fuite des talents et génies africains par manque de moyens;  pour l'Europe, l'Amérique et l'Asie.

Une organisation sociale où la richesse est l'Homme.

Une nouvelle classe politique nécessite l'investissement dans l'humain.

Nous sommes une génération de résultats. La victoire est nôtre maintenant !

Fovi Katakou ( b-a-b-a , RAL )

Nature-Homme-Société